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HEIM, en allemand, c’est le foyer ; c'est la racine de nombreux mots qui disent les multiples façons d'habiter le monde : Unheimlich, étrange, Geheimnis, le secret, Heimweh, le mal du pays...
Ne jamais s'assoir sur ses certitudes, partager les vécus, instaurer des espaces d'échanges, inventer des traversées, c'est répondre à nos besoins d'aujourd'hui par d'autres moyens structurant nos perceptions. Afin de déployer nos imaginaires, nous inventons par oppositions, digressions, logiques invertébrées, l'usage d'allégories. Il s'agit de construire un archipel d'images et de mouvements hors d'un rationalisme stricte. L'absurde nargue les réalités et des fictions apparaissent. La question de la dignité fait lieu d'explorations ; comment des corps figés, assignés se déplacent-ils ?
Les créations s’adaptent en tout lieu : black box, white space, un champs, un parvis.  

Un premier solo vi(n)cere, a été créé et montré en 2021 et 2022. Le nouveau projet Trémolo est pensé comme une continuation du solo vi(n)cere qui traite de la peur, l'immobilité qu'elle provoque et ses détours que l'on convoque. 


Emilie Philippot a commencé son parcours aux Beaux-Arts de Nantes, où parallèlement, les disciplines pratiquées telles que l’Aïkido, le yoga Ashtanga ont influencées son parcours ; après avoir travaillé pour des artistes plasticiens et en scénographie, elle s’est ensuite dirigée vers les arts performatifs en se formant à Forum Dança, PEPCC à Lisbonne : Etudes, Recherches et Création Chorégraphique. Elle y rencontre Vitor Roriz et Sofia Dias, Vera Mantero, Loïc Touzé, Marlène Monteiro Freitas, pour les plus influents. Aujourd'hui, elle collabore avec des artistes plasticiens, des arts vivants et est interprète pour différentes compagnies (Uncanny, Nour).

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